Les mosaïstes antiques avaient-ils des cahiers de modèles ? (suite, probablement sans fin)
Identifiant AIEMA | 22-231 |
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auteur du texte | BRUNEAU Philippe |
ISSN | 0221-5896 |
liens | <non spécifié> |
revue | Ktèma |
fascicule | 2000, 25 |
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titre d’autre support de publication | <non spécifié> |
pagination | p. 199-206 |
nombre d’illustrations | |
langue du texte | français |
traduit de | <non spécifié> |
présence de résumé dans une langue différente. Si oui, langue du résumé | <non spécifié> |
renvoi BullAIEMA | <non spécifié> |
résumé de l'AIEMA | :
La reprise, à des kilomètres et à des siècles de distance, d'un même thème ne va pas sans poser le problème de la tradition mosaïste, solidaire, en fait, de deux questions plus générales : celle de la transmission d'une technique et celle de l'organisation dans les ateliers. Expliquer les rencontres – toujours une parenté thématique, mais jamais schématique – par l'existence de cahiers de modèles, dont aucune mention antique ne subsiste, repose sur un postulat (celui de l'"antécédent") qui ravale la mosaïque à un art d'imitation, omettant ses aspects techniques et principalement la collaboration entre un peintre (auteur du paradeigma) et un poseur de tesselles. (D'après le résumé de la revue) |
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mot matière | |
personne citée | <non spécifié> |
index géographique | <non spécifié> |
pièce jointe | <non spécifié> |
commentaire | p. 199-206, fait suite à l'article publié dans la Revue archéologique, 1984, 2, p. 241-272. |
publié dans le bulletin | 2011-22 |