Le décor figuré des édifices ecclésiaux
Identifiant AIEMA | 23-443 |
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auteur du texte | SPIESER Jean-Michel |
ISSN | 1250-7334 |
liens | <non spécifié> |
revue | Antiquité tardive |
fascicule | 2011, 19 |
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titre d’autre support de publication | <non spécifié> |
pagination | p. 95-108. |
nombre d’illustrations | |
langue du texte | français |
traduit de | <non spécifié> |
présence de résumé dans une langue différente. Si oui, langue du résumé | <non spécifié> |
renvoi BullAIEMA | <non spécifié> |
résumé de l'AIEMA | :
Il s’agit de retracer l’évolution du décor peint et mosaïqué dans les églises paléochrétiennes. Même si les mosaïques de sol de l’église de Théodore à Aquilée peuvent être datées des années 310-320, il faut admettre que la décoration des murs et voûtes des églises n’est pas attestée avant le milieu du IVe siècle. La mosaïque est la plus utilisée, même dans les églises relativement modestes (Grèce, Asie Mineure, Palestine), vu l’importance accordée à la brillance pour rendre la lumière divine. Remarques sur l’évolution du décor des absides : le Christ demeure le sujet favori même si, à partir du Ve siècle, la Théotokos est également attestée. Mosaïques citées : Aquilée (basilique théodorienne), Nicopolis (basilique A), Ravenne (Saint-Vital, Saint-Apollinaire-in-Classe), Casaranello (Santa Maria della Croce), Rome (Saints-Cosme-et-Damien, Sainte-Pudentienne), Kiti (Panagia Angeloktistos), Thessalonique (Saint-Démétrius, Rotonde Saint-Georges). |
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mot matière |
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personne citée | <non spécifié> |
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pièce jointe | <non spécifié> |
commentaire | p. 95-108. |
publié dans le bulletin | 2013-23 |