Mosaïques romaines de Crète
Identifiant AIEMA | 23-991 |
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auteur du texte | MARKOULAKI Stavroula |
ISSN | 1141-7137 |
liens | <non spécifié> |
revue | Dossiers d'Archéologie (Les) |
fascicule | 2011, 346, « Mosaïque antique, les dernières découvertes » |
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titre d’autre support de publication | <non spécifié> |
pagination | p. 54-59 |
nombre d’illustrations | |
langue du texte | français |
traduit de | <non spécifié> |
présence de résumé dans une langue différente. Si oui, langue du résumé | <non spécifié> |
renvoi BullAIEMA | <non spécifié> |
résumé de l'AIEMA | :
Après la conquête romaine de la Crète en 67 avant J.-C., de nombreuses villes crétoises sont entrées dans une nouvelle phase de croissance. De nouveaux centres, et surtout des ports, ont pris de l’importance, le long des routes commerciales. C’est dans ces villes que, dès le début du IIe siècle après J.-C., apparaît une production sans cesse croissante de mosaïques, qui atteint son apogée au IIIe siècle. Peu de pavements de style noir et blanc, mais beaucoup en style polychrome, avec des scènes particulièrement originales (Horai et saisons, triomphe de Dionysos, hiérogamie, scène d’une comédie de Ménandre). En Crète de l’Ouest, Knossos, Kissamos et Chania sont des centres de production désormais reconnus. On connaît maintenant plusieurs signatures de mosaïstes, l’un est local, un autre signe d’un nom latin, un troisième vient de Daphné, près d’Antioche, le quatrième d’Alexandrie. Brève bibliographie. |
classement | |
pays - classement | Grèce |
mot matière |
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personne citée | <non spécifié> |
index géographique |
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pièce jointe | <non spécifié> |
commentaire | p. 54-59, 12 ill. coul. |
publié dans le bulletin | 2013-23 |