Sparte et ses ateliers à l’époque impériale, iconographie et innovation
Identifiant AIEMA | 23-1014 |
---|---|
auteur du texte | PANAGIOTOPOULOU Anastasia |
ISSN | 1141-7137 |
liens | <non spécifié> |
revue | Dossiers d'Archéologie (Les) |
fascicule | 2011, 346, « Mosaïque antique, les dernières découvertes » |
article suivant | <non spécifié> |
article précédent | <non spécifié> |
titre d’autre support de publication | <non spécifié> |
pagination | p. 60-65 |
nombre d’illustrations | |
langue du texte | français |
traduit de | <non spécifié> |
présence de résumé dans une langue différente. Si oui, langue du résumé | <non spécifié> |
renvoi BullAIEMA | <non spécifié> |
résumé de l'AIEMA | :
La ville de Sparte compte désormais un total de 180 mosaïques datant de l’époque hellénistique jusqu’à l’époque paléochrétienne. Jusqu’au début du IIe siècle après J.-C., le décor de ces pavements est presque exclusivement géométrique. Par la suite, et surtout dans la deuxième moitié du IIIe siècle, les mosaïstes ont puisé leur répertoire dans la mythologie grecque. Ils ont figuré les amours des dieux : Zeus enlève Ganymède et Europe, Apollon tente d’approcher Daphné, Arès se repose dans les bras d’Aphrodite tandis que Dionysos rencontre Ariane à Naxos. D’autres pavements illustrent des poèmes homériques (jugement de Pâris, départ de Briséis, Achille à Skyros). Les scènes dionysiaques sont fréquentes et connaissent un traitement iconographique original ; il en va de même pour Sélénè et Hélios, au centre d’un zodiaque et des vents en écoinçons. Le traitement polychrome des compositions géométriques permet de reconnaître plusieurs ateliers très actifs à différentes périodes de la ville, dont la richesse est ainsi mise en évidence au IIIe siècle. Brève bibliographie. |
classement | |
pays - classement | Grèce |
mot matière |
|
personne citée | <non spécifié> |
index géographique | |
pièce jointe | <non spécifié> |
commentaire | p. 60-65, 11 ill. coul. |
publié dans le bulletin | 2013-23 |