Les sigmas dans l’Antiquité tardive et les installations de fontaine
Identifiant AIEMA | 22-193 |
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auteur du texte | MORVILLEZ Éric |
publication collective | Das Römische Bankett im Spiegel der Altertumswissenschaften, Düsseldorf, Internationales Kolloquium am 5. und 6. Oktober 2005 |
liens | <non spécifié> |
tomaison | |
pagination | p. 37-53 |
nombre d’illustrations | |
langue du texte | français |
traduit de | <non spécifié> |
langue du résumé (si présent) | <non spécifié> |
renvoi BullAIEMA | <non spécifié> |
résumé de l'AIEMA | :
Partant des créations du Haut-Empire et des exemples de Pline le Jeune ou de la villa Hadriana, l’auteur présente un bilan typologique des lits de banquet en sigma (ou stibadium) associés à une fontaine ou un bassin dans l’Antiquité tardive. Il distingue des exemples à lit de maçonnerie les sigmas dont l’installation se lit au sol, parfois repérables grâce au dessin de la mosaïque comme dans le cas de Kenchreai (port de Corinthe) ou celui de Patras (rue de Corinthe, Miaouli et Tsamadou) . Dans ces derniers connus, la mosaïque n’est pas utilisée en revêtement de banquette, où l’on préfère la peinture, le marbre (édifice près de l’arc de Titus à Rome) ou le placage d’opus sectile (avec remploi d’un oscillum à Faragola (Pouilles), sur la façade avant du stibadium). La mosaïque est employée naturellement pour les revêtements de fond de certains bassins (fontaine Utere felix de Carthage par ex.). (Résumé auteur) |
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personne citée | <non spécifié> |
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pièce jointe | <non spécifié> |
commentaire | p. 37-53, fig. 1-13 Éditeur : Stuttgart, Franz Steiner Verlag Colloque : 2005, Düsseldorf |
publié dans le bulletin | 2011-22 |