Scènes nilotiques : expression de l’abondance et vision de l’autre
Identifiant AIEMA | 22-345 |
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auteur du texte | GUIMIER-SORBETS Anne-Marie |
publication collective | Du Nil à Alexandrie, histoires d'eaux. Exposition au Laténium du 23 octobre 2009 au 30 mai 2010 |
liens | <non spécifié> |
tomaison | |
pagination | p. 644-663 |
nombre d’illustrations | |
langue du texte | français |
traduit de | <non spécifié> |
langue du résumé (si présent) | <non spécifié> |
renvoi BullAIEMA | <non spécifié> |
résumé de l'AIEMA | :
Après une présentation rapide du motif des scènes nilotiques et leur emploi sur les mosaïques du IIe s. avant J.-C. au VIIe s. après J.-C., l’article reprend les origines alexandrines du motif à l’époque hellénistique et la signification qu’ont alors ces scènes pittoresques, qui correspondent au goût pour les représentations des paysages et des diverses espèces d’animaux. Le caractère grotesque des pygmées se développe en dehors de l’Egypte, après la conquête romaine. L’idéologie impériale aide certainement à leur diffusion dans un esprit à la fois d’exotisme et de caricature, mais ces scènes portent toujours l’image de l’eau et de l’abondance festive. Des encadrés sont consacrés aux festivités du Nil (mosaïque hellénistique de Palestrina, pavement de Thmuis d’époque impériale), à la frise nilotique de la maison du Faune à Pompéi, et à celle de la villa de Silin en Tripolitaine (Libye). |
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personne citée | <non spécifié> |
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commentaire | p. 644-663, ill. coul. Éditeur : Alexandrie, Harpocrates |
publié dans le bulletin | 2011-22 |