Peindre les sols : quelques emplois attestés dans le monde grec
Identifiant AIEMA | 22-511 |
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auteur du texte | GUIMIER-SORBETS Anne-Marie |
publication collective | Atti del X Congresso internazionale dell’AIPMA (Association internationale pour la peinture murale antique) (Napoli 17-21 settembre 2007) |
liens | <non spécifié> |
tomaison | |
pagination | p. 29-40 |
nombre d’illustrations | |
langue du texte | français |
traduit de | <non spécifié> |
langue du résumé (si présent) | <non spécifié> |
renvoi BullAIEMA | <non spécifié> |
résumé de l'AIEMA | :
Dans la perspective des recherches sur la polychromie antique, l’auteur étudie en premier lieu l’emploi de la peinture comme unique moyen de décorer un sol de mortier, puis l’emploi de la peinture en complément de la mosaïque.
Ayant montré que la tradition des sols de mortier décorés par la peinture remonte aux époques les plus anciennes, et que les mosaïstes ont utilisé ce procédé sur les pavements, en particulier — mais pas seulement — à l’époque hellénistique, pour relever le défi de transposer des œuvres picturales, il est légitime de s’interroger sur la polychromie de la mosaïque d’Alexandre et Darius de la Maison du Faune à Pompéi. L’emploi de matériaux artificiels, verre, faïence, et peut-être peinture, matériaux aujourd’hui altérés, a pu permettre de réaliser une œuvre beaucoup plus colorée qu’on ne l’a pensé jusqu’ici. La mosaïque, et la peinture qui l’a inspirée, ne seraient plus emblématiques du courant tétrachromatiste des peintres traditionnels vantés par Pline. |
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personne citée | <non spécifié> |
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commentaire | p. 29-40, pl. III-IV. Éditeur : Naples, Universitá degli Studi di Napoli "L'Orientale" Collection : Annali di Archeologia e storia antica Colloque : 2007, Naples |
publié dans le bulletin | 2011-22 |