Le rinceau d’acanthe à fond noir dans la mosaïque syrienne : l’exemple de Mariamin
Identifiant AIEMA | 23-1677 |
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auteur du texte | BALTY Janine |
publication collective | Classica Orientalia. Essays Presented to Wiktor Andrzej Daszewski on his 75th Birthday |
liens | <non spécifié> |
tomaison | |
pagination | p. 73-88 |
nombre d’illustrations | |
langue du texte | français |
traduit de | <non spécifié> |
langue du résumé (si présent) | <non spécifié> |
renvoi BullAIEMA | <non spécifié> |
résumé de l'AIEMA | :
Le rinceau d’acanthe sur fond noir, généralement réservé à l’encadrement de tableaux mosaïqués de luxe, est bien représenté en Syrie du IIe au Ve siècle. L’exemple de Mariamin (fin IVe/début Ve siècle) permet d’en relever les principales caractéristiques : putti végétalisés dans les angles, masques végétalisés au milieu des côtés et scènes de chasse (putto + fauve). Les masques féminins et masculins (nombreux parallèles cités : à Zeugma, Rastan, Shahba, Cyrrhus, Palmyre, Apamée) présentent une iconographie caractéristique : les têtes masculines s’identifient aux masques d’Océan, les têtes féminines aux masques de Gorgones — l’un et l’autre sur les sarcophages. Le sens de ces masques en contexte funéraire (manifestation de l’élan vital) pourrait être valable aussi en contexte domestique. Cette signification valorisante expliquerait le succès dont il a longtemps joui. |
classement | |
pays - classement | Syrie |
mot matière |
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personne citée | <non spécifié> |
index géographique |
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pièce jointe | <non spécifié> |
commentaire | p. 73-88, 6 ill. Éditeur : Warsaw, Polish Centre of Mediterranean Archaeology, University of Warsaw |
publié dans le bulletin | 2013-23 |