Le travail des ateliers de mosaïstes
Identifiant AIEMA | 23-293 |
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auteur du texte | GUIMIER-SORBETS Anne-Marie |
ISSN | 1141-7137 |
liens | <non spécifié> |
revue | Dossiers d'Archéologie (Les) |
fascicule | 2011, 346, « Mosaïque antique, les dernières découvertes » |
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titre d’autre support de publication | <non spécifié> |
pagination | p. 90-95 |
nombre d’illustrations | |
langue du texte | français |
traduit de | <non spécifié> |
présence de résumé dans une langue différente. Si oui, langue du résumé | <non spécifié> |
renvoi BullAIEMA | <non spécifié> |
résumé de l'AIEMA | :
Une plus grande attention portée aux techniques des mosaïstes et la découverte de nouveaux documents permettent de se faire une meilleure idée de l’évolution des pratiques des ateliers. À l’époque hellénistique, pour imiter la grande peinture, les mosaïstes ont eu recours à des matériaux artificiels (verre, faïence, peinture, joints colorés) qui se sont partiellement dégradés : il est souvent possible de les identifier et de tenter de restituer les couleurs originelles de ces pavements luxueux. Ainsi peut-on formuler l’hypothèse, à partir de simples observations, d’une plus grande polychromie de la mosaïque d’Alexandre et de Darius aujourd’hui conservée au musée de Naples. La technique de l’emblema répond, elle aussi, au besoin des mosaïstes de réaliser, en opus vermiculatum, des œuvres si fines qu’il fallait les exécuter en atelier. Ces expérimentations les ont conduits à perfectionner progressivement les supports de ces petits panneaux, de manière à en faciliter le transport puis l’exportation vers des contrées éloignées des ateliers de fabrication. Brève bibliographie. |
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mot matière |
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personne citée | <non spécifié> |
index géographique | <non spécifié> |
pièce jointe | <non spécifié> |
commentaire | p. 90-95, 10 ill. coul. |
publié dans le bulletin | 2013-23 |