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Saint-Paul-Trois-Châteaux 324

Identifiant AIEMA23-923
auteur<non spécifié>
publication collectiveLa Drôme
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langue du textefrançais
traduit de<non spécifié>
langue du résumé (si présent)<non spécifié>
renvoi BullAIEMA<non spécifié>
résumé de l'AIEMA
:
(6*) La colline du Château, débris de mosaïque, 1798 ; selon H. Lavagne (1979), cette mosaïque, dont on ignore la localisation exacte, pouvait être un pavimentum de bassin de décantation d’une huilerie. Rue d’Aiguebelle, une pierre présentant les cavités d’encastrement des jumelles d’un pressoir, en remploi dans un mur, peut être associée à la mosaïque précédente. (7*) Rue Saint-Estève, les mosaïques polychromes signalées près du Portail Fanjou, ancienne porte de Fontjocor, sont à localiser en réalité sur la colline de Piéjoux. Rue Montant-au-Château, fragment de mosaïque. H. Lavagne date la mosaïque du Ier ou du IIe siècle. Place de la Tour Neuve, des fragments de mosaïque découverts en 1946 sont au musée de Saint-Paul-Trois-Châteaux. (8*) Au n° 12 Bonne Rue, une mosaïque (fig. 874) dans une cave. Dégagée en 1976 par H. Lavagne. Deux tapis séparés par un seuil. Au sud, tapis noir et blanc. Seuil, rangée de cœurs blancs sur fond noir. Au nord, tapis rectangulaire à décor géométrique, noir et blanc. Datation Ier siècle. Mosaïque restaurée et conservée au Musat. Bonne Rue, des fragments de mosaïque récupérés dans une tranchée, 1945. (11*) Place Castellane, une mosaïque détruite, 1953-1954. (16*) à l’est de l’avenue de la Gare, hôtel, 1974, couches de remblais, sol en opus signinum, des tesselles de mosaïque. (17*) Lors de la construction du groupe scolaire du Serre-Blanc, en 1950, une mosaïque, noir et blanc, fragment conservé au Musat, datation vers 50 apr. J.-C. (18*) Au sud de la place de la Libération, en 1936, mosaïque noir et blanc. (20*) Rue Saint-Jean, mosaïque retrouvée en 1885, polychrome, géométrique (fig. 879a, b, c, d), extraite par morceaux par son propriétaire. H. Lavagne (1978) date les fragments de la transition entre le IVe et le Ve siècle. Au nord du tronçon est de la rue Saint-Jean, 1998, pavement de marbre, opus sectile polychrome (fig. 880). Place Saint-Jean, 1998, fragments de mosaïque. (21*) Au sud du Courreau, 1838, des mosaïques. En 1884, une pièce avec une mosaïque polychrome à décor géométrique (fig. 881a, b), un tableau central représentait Hercule délivrant Hésioné. Deux seuils : à l’est, un cratère porté par deux panthères ; à l’ouest, un canthare porté par deux dauphins. Le pseudo-emblema est conservé au musée Calvet à Avignon. H. Lavagne date la mosaïque du milieu du IIIe siècle. En 1964, fragments d’un pavement de mosaïque, conservés au Musat, semis de tesselles rouges, jaunes et blanches sur fond noir. Travaux à l’est de la piscine municipale, en 1994 : une domus, une pièce mosaïquée, tapis en opus tessellatum, fond en tesselles noires orné d’un semis dense de tesselles rouges, jaunes et blanches et d’un semis de cabochons de diverses variétés de marbres (crustae) [fig. 882]. Dans la parcelle adjacente à l’est, une mosaïque découverte puis réenfouie vers 1965. (22*) En bordure nord de l’avenue Louis Girard, dans une fosse, des tesselles de mosaïque. (23*) Dans un jardin, avant 1958, une mosaïque à décor géométrique, plus à l’est une autre mosaïque à décor géométrique. Au sud du Courreau, en 1991, une pièce à pavement de mosaïque, des tesselles de mosaïque, enduit peint. Jardin Messié, un pavement polychrome (fig. 883), trame géométrique de carrés, de triangles et d’hexagones. L’autre tapis offrait une composition centrée, un octogone central, étoile de huit losanges, les écoinçons sont occupés par de petits carrés. Le motif en forme de gros fruit terminé par une croisette et à pyramide antérieure est unique selon H. Lavagne, qui le date du milieu du Ier siècle. Jardin Messié, en 1992, une autre pièce au sol mosaïqué (fig. 884), décor géométrique, composition orthogonale d’étoiles à huit losanges, de grands carrés sur la pointe chargés de figures géométriques, un pseudo-emblema composé d’un cercle inscrit dans un carré ; dans le cercle central, un dodécagone est chargé d’une composition en nid d’abeille d’étoiles à six pointes en noir et blanc, les arcs de cercle résiduels sont rouges et un petit cratère à volutes occupe chaque écoinçon du carré, des grenades ou des pommes et des cratères sont disposés sur le pourtour de la première bordure avec des oiseaux dans les angles, enduits peints. Datation : fin du Ier siècle-début du IIe siècle. (24*) Au quartier des Sablières, au sud de l’avenue Louis Girard, deux pavements : damier noir et blanc pour un, l’autre était constitué d’un champ géométrique noir et blanc faisant alterner des étoiles à huit losanges avec des carrés droits et sur la pointe, emplis de motifs géométriques et figurés polychromes : grenades, feuille cordiforme, svastika ; un pseudo-emblema carré bordé par une tresse à deux brins présente un cercle à fond noir orné d’une composition centrée d’hexagones à croisette et de losanges blancs, un dauphin noir dans chacun des écoinçons. Datée par H. Lavagne des années 130-150 apr. J.-C. (25*) À l’ouest du chemin de Boussous, en 1979, des tesselles de mosaïque, des fragments d’enduit peint. (41*) Sur le coteau de Piéjoux, porte de Fanjoux, des fragments de pavé de mosaïque de diverses couleurs. (45*) Au bord de la route de Bollène, en 1965, destruction de cinq à six mosaïques communes ou à décor géométrique. (54*) Dans la collection Vallentin, un fragment de mosaïque.
classement
pays - classementFrance
mot matière
personne citée<non spécifié>
index géographique
pièce jointe<non spécifié>
commentaire
Éditeur : Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, Ministère de l'Éducation nationale, Ministère de la Recherche, Ministère de la Culture et de la Communication, Maison des sciences de l'homme
Collection : Carte archéologique de la Gaule
publié dans le bulletin2013-23