Valence 362

(29*) Forum de la colonie de Valentia, à l’ancienne place des Hommes, une mosaïque, en 1916. Découverte en 1846-1847 de plusieurs mosaïques lors de la reconstruction de l’église Saint-Jean. Rue de l’Hôtel de Ville, une mosaïque, en 1890. (30*) Thermes publics, rue du Théâtre, mosaïque, en 1890. (35*) Place de la Pierre, une mosaïque noir et blanc, en 1893. (36*) Habitat, mosaïques. (38*) Plusieurs fragments de mosaïques dans une zone comprise entre la place du Palais de Justice, la rue Louis Gallet et la rue du Général Farre. En 1807, une mosaïque d’époque sévérienne, décor géométrique, bordure de volutes, découverte dans un jardin. Une autre mosaïque, polychrome, rue Louis Gallet, en 1905. (40*) En 1957, domus, des débris de mosaïque. (41*) Parking angle des rues Belle Image et Pécherot, décor de bordure de mosaïque, fond noir avec motif de semis de crustae alternant avec des croisettes blanches (fig. 1001), en 1977, H. Lavagne propose une datation du Ier siècle. Une autre mosaïque à l’angle des rues Belle Image et Farnerie, en 1950. (43*) Boulevard Vauban, habitat, sol d’une pièce en opus sectile ou scutulatum. (60*) Parvis de la cathédrale, en 1866, mosaïque du baptistère. En 1952-1954, mosaïque retrouvée par A. Blanc, conservée au musée de Valence, datation contestée : VIe siècle ou XIe-XIIe siècle. En 2006, une nouvelle analyse technique et stylistique, par I. Parron et J. Tardieu, conclut que la mosaïque a connu deux états de mise en œuvre. La mosaïque aux fleuves et aux quadrupèdes (fig. 1037), elle, peut se situer entre les VIe et VIIe siècles ; le tapis méridional, époque romane.